NaNa Toulouse: Laurie

Un nouveau visage pour Lancôme

septembre 06, 2014
0 Comments

Le World Press Photo 2014 nous en met plein la vue #WPPMtl

Le World Press Photo débarque à Montréal! Comme chaque année depuis 2006, les lauréats du plus grand concours de photographie au monde sont exposés dans la métropole, et c'est au Marché Bonsecours que vous pourrez les voir jusqu'au 28 septembre.

World Press Photo Montréal 2014

150 photos en tout ont été sélectionnées par le jury du WPP en février dernier et récompensées dans différentes catégories, du spot d'informations au reportage sportif en passant par le portrait. Au nombre de clichés qui lui ont été soumis (un peu moins de 100 000), le jury s'est prêté à un processus pour le moins expéditif. Chaque photo disposait d'une seconde et pas une de plus pour faire son effet. Si l'un des 19 membres de jury levait la main, elle passait à l'étape suivante. Les photos ainsi retenues devaient ensuite récolter deux appuis, et ainsi de suite.

John Stanmeyer, États-Unis, VII pour National Geographic

C'est un cliché de l'Américain John Stanmeyer qui a fait l'unanimité et remporté le titre de World Press Photo of the year. Il montre des migrants africains sur une plage de Djibouti qui tentent, cellulaire à bout de bras, d'obtenir un signal de la Somalie, où se trouvent leurs parents. Un choix étonnant, de l'aveu même du commissaire et producteur du WPPMtl, Matthieu Rytz, pour un concours qui récompense plus souvent qu'autrement des photos de guerre. À travers ce choix, le WPP a souhaité "appréhender l'humanité dans sa globalité plutôt que de mettre l'accent sur la nouvelle quotidienne", à l'heure où les médias "proposent souvent une actualité qualifiée de sensationnaliste, qui relate le nombre de morts d'un acte terroriste plutôt que la vie des millions de personnes affectées par le conflit", a expliqué M. Rytz.

Je vous encourage vivement à profiter de cette exposition, qui est pour moi chaque année un incontournable de la rentrée culturelle montréalaise. C'est une belle occasion de se rappeler que le photojournalisme est un art à part entière. Je vous garantis que vous n'en sortirez pas indifférent! Je vous suggère également d'aller faire un tour sur le site de l'organisation pour en savoir davantage sur les photographes primés et découvrir l'intégralité des séries exposées. Je vous laisse sur mon coup de cœur personnel!

Christian Ziegler, Allemagne, pour National Geographic

Les infos

Marché Bonsecours

325, rue de la Commune Est

Vieux-Montréal (Métro Champs-de-Mars)
Coût de l'entrée: 12$ / 10$ pour les étudiants de moins de 25 ans

Site web

Laurie xx

Laurie, correctrice et collaboratrice du samedi

À propos de l'auteur:

Laurie est diplômée de l’UQAM en journalisme. Elle aime lire les biographies de ses musiciens préférés, faire des pâtisseries et regarder des films qu’elle connaît déjà par cœur. Correctrice de l’examen de français écrit de cinquième secondaire pour le ministère de l’Éducation, elle s’assurera qu’aucune faute ne vienne heurter nos yeux. Vous pouvez la suivre sur Instagram (@lauriievanhoorne).

août 30, 2014
0 Comments

Parlons chaussures: #Soludos, ou les chaussures idéales de l'été

Aubaines

août 23, 2014
0 Comments

Idée #déco: les grands classiques du cinéma en poster

Coup de coeur

août 16, 2014
0 Comments

À voir, sur #Netflix: trois documentaires sympas

Coup de coeur

Parce que la vie n'a pas que des séries à offrir: petit compte-rendu de trois documentaires que j'ai visionnés (et appréciés) sur Netflix.

Blackfish (2013 | 83 minutes)

Blackfish

On est tous plus ou moins conscients que les animaux sauvages ne sont pas faits pour vivre en captivité, et Blackfish nous le rappelle de façon éloquente. Le sujet ici: les orques, qu'en anglais on appelle... killer whales. D'anciens entraîneurs de Sea World se confient à la caméra, racontent la fébrilité des premières rencontres avec ces impressionnants mammifères marins, la complicité, puis l'horreur dont ils ont été témoins. À lui seul, Tilikum est responsable de la mort de trois personnes. Mais qui est responsable du comportement de Tilikum? Les experts sont catégoriques: jamais un orque en liberté n'a attaqué l'Homme. À voir absolument, ne serait-ce que pour mesurer l'intelligence de ces bêtes, et la bêtise dont sont capables les parcs aquatiques, dans la quête de profits.

Bettie Page Reveals All (2012 | 101 minutes)

Bettie Page Reveals All

J'adore les documentaires biographiques et celui-ci ne m'a pas déçue: la pin-up de légende revient sur sa vie tumultueuse et ne lésine pas sur les détails. Révélée au début des années cinquante grâce à ses photos osées, comptant parmi les toutes premières «Playmates du mois» du magazine Playboy, Bettie Page décide un beau jour de tout plaquer et se réfugie dans la religion avant d'entamer une longue descente aux enfers qui la fait aboutir dans un hôpital psychiatrique, où on lui diagnostique une schizophrénie. Revenue à la surface dans les années quatre-vingts grâce à des fans toujours plus nombreux à lui vouer un culte, elle entretient le mystère en ne prêtant que sa voix à ce petit bijou, dressant au passage un portrait à la fois étonnant et très personnel des États-Unis de l'après-guerre.

Miss Representation (2011 | 85 minutes)

Miss Representation

J'étais déjà tombée dessus à la télévision sans pouvoir le voir en entier, j'étais donc très contente de le trouver sur Netflix! Miss Representation s'attarde à la question de la représentation des femmes dans les médias et, par extension, au quotidien. Ce documentaire de Jennifer Siebel Newsom donne l'occasion à des journalistes et des politiciennes de s'exprimer sur les obstacles auxquels elle ont dû (et doivent encore) faire face et auxquels devront se buter les jeunes filles dans une société qui voit rarement d'un bon œil une femme qui possède du pouvoir. Est-ce que Miss Representation nous apprend réellement quelque chose qu'on ne savait pas déjà? Pas vraiment. Mais il a le mérite d'enfoncer le doigt dans le bobo à coup de statistiques et de témoignages parfois hallucinants.

Laurie xx

Laurie, correctrice et collaboratrice du samedi

À propos de l'auteur:

août 09, 2014
0 Comments

Habille-toi comme: the Man with no name

Laurie

août 02, 2014
0 Comments

5 bonnes raisons d'aimer #THEFACESHOP

beauté

juillet 26, 2014
0 Comments

Grand casting du #FMD: rencontre avec Geneviève Borne

art

C'était mardi dernier: quelques centaines de mannequins se sont rués au dix-neuvième étage de la Place Ville Marie, armés de leur portfolio, en espérant taper dans l’œil des membres d'un jury des plus prestigieux. Le but de ce grand casting? Sélectionner les 80 chanceux qui défileront lors de la 14e édition du Festival Mode et Design, du 20 au 23 août prochains.

Parmi le jury, Geneviève Borne, qui est également porte-parole du FMD pour une septième année consécutive et ne cache pas son enthousiasme quand elle en parle. «J'adore faire connaître le festival, qui pour moi est un incontournable de l'été à Montréal, explique-t-elle à propos de l'événement qui attire chaque année plus d'un demi-million de curieux. Il prend encore plus d'envergure cette année en prenant place dans le Quartier des spectacles.»

Et chez les mannequins qui défilaient sous ses yeux mardi, que recherchait-elle? «Une belle démarche, évidemment, mais aussi - et surtout - du charisme. Défiler en plein air, c'est défiler dans un environnement qu'on ne peut pas contrôler. Au milieu de toutes les lumières, de tout le bruit, il faut dégager quelque chose de fort et être capable de capter l'attention.»

L'animatrice affectionne particulièrement la portion «casting sauvage» du processus, qui permet à ceux et celles qui ne sont pas représentés par une agence de s'essayer. C'est d'ailleurs de cette façon qu'elle a recruté, l'année passée, trois des mannequins qui ont participé au défilé de clôture du FMD, dont elle assurait la mise en scène.

Site officiel

Page Facebook

Laurie, correctrice et collaboratrice du samedi

À propos de l'auteur:

juillet 19, 2014
0 Comments

#MarchédesPossibles: quatre artisans coup de cœur

art

juillet 12, 2014
0 Comments

Gros plan: choisir son #eauflorale

beauté

Avez-vous déjà songé à inclure une eau florale à votre routine beauté? Les eaux florales cosmétiques (pas celles que vous trouvez à l'épicerie, donc) sont réputées pour leurs vertus et remplacent sans problème les lotions toniques.

Les eaux de rose et de fleur d'oranger sont les plus connues, mais il en existe toute une variété, conçues pour tous les types de peau et destinées à résoudre toutes sortes de problèmes dermatologiques. Petit récapitulatif de ce qui se trouve sur le marché!

Source: Little Miss Makeup

L'eau de rose: Véritable reine des eaux florales, elle convient à tous les types de peau, qu'elle adoucit et hydrate en plus de resserrer les pores.

L'eau de fleur d'oranger: Tout indiquée pour les peaux sèches, elle est aussi la meilleure amie des peaux matures en raison de son action apaisante.

L'eau de bleuet: Présente dans de nombreux produits de soin destinés au contour des yeux, elle possède des propriétés apaisantes et décongestionnantes. Utilisée en compresse, elle soulage les yeux fatigués.

L'eau de lavande: Alliée des peaux normales à mixtes, elle purifie et ré-équilibre. En imbiber un coton pour réduire l'inflammation causée par un bouton.

L'eau d’hamamélis: Tonifiante et purifiante, elle est destinée avant tout aux peaux grasses, auxquelles elle redonne de l'éclat.