- octobre 04, 2014
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- septembre 27, 2014
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La semaine dernière, je me suis mise en chasse de la parfaite couleur de l'automne pour colorer ma moue... automnale. Je suis maniaque (littéralement) de la série Outlast all-day lip color. J'en ai mis trois teintes à l'essai, puis je vous ai questionnés sur Facebook pour connaître votre opinion.
Vous semblez tous (ou presque) vous entendre sur un point: PAS la #2. Selon vos commentaires, cette teinte est "sooo 1994", et je dois avouer qu'il y a du vrai dans cette affirmation, HAHA!
Ça me laisse avec la 1 et la 3, qui sont en fait:
Nuance: Jolie |
Nuance: Prune Sauvage |
Mon avis final: je porterais bien "jolie" de jour et "prune sauvage" de soir. En fait, j'ai bien l'intention de troquer mon habituel rouge rouge contre celui-ci. Je le dis d'abord pour moi (et pour vous, si ça peut aider), mais faut savoir oser... Je ne serais JAMAIS allée d'emblée vers ces teintes tirant sur le mauve, mais je suis bien contente d'avoir fait le saut.
Qu'on m'apporte de la température froide, des collants opaques et des carreaux; j'ai mes rouges, je suis fin prête!
Alexïs xo
Rédactrice en chef
NaNa Toulouse
- septembre 17, 2014
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This is better than porn,
c’est un blogue 100% made in Montréal hors du commun, où l’on peut abuser de son
imagination et carburer aux mots coquins.
Olivia
et Linakim ont monté ce projet avec lequel elles tentent de s’exposer physiquement
(parfois) et artistiquement (surtout) sans retenue sur les thèmes du désir, de
la sensualité et de la sexualité. Pour se dissocier d'une «industrie
pornographique où le genre féminin est tristement exploité, nous nous
questionnons sur le rôle et la place d’une nouvelle sensualité», me dit
Olivia.
Les
filles lancent une campagne de financement pour leur deuxième
publication, sous forme de magazine cette fois, qui sortira en octobre 2014.
Celui-ci regroupera textes et photographies sur le sujet.
Pour
l’occasion, il y a une collabo avec l’artiste Pony ainsi que des t-shirts signé L’Orchidoclaste qui seront disponibles pendant toute la campagne de financement. ** Venez voir cette image en cliquant ici! **
Pour l'occasion, j'ai eu le privilège de m'entretenir avec une des co-fondatrices: Olivia. Fondé en 2012 par elle et ses partenaires, Olivia a partagé avec moi le but recherché par ce blog et ses inspirations.
Olivia: Je dirais pour s’exprimer, quoi que l’un n’empêche pas l’autre. Nous ne voulons vraiment pas être un blog qui donne des conseils sexuels, nous voulons en fait démontrer que chacun vit sa sexualité de manière différente. La beauté est dans la diversité et ce concept s’applique autant aux textes qu'aux modèles dans les photos. C’est en même temps un geste libérateur de pouvoir mettre des mots sur le désir, qui peut être ludique comme réprimé ou obsessionnel. Bref, un terrain de jeu vraiment inspirant.
[Pour ses inspirations] Je crois qu’on ne peut pas s’empêcher de s’inspirer de nos expériences et de nos relations, c’est plus fort que nous. D’un autre côté, comme nos ami(e)s connaissent l’existence du blog, ils ne se gênent pas pour nous raconter leurs propres péripéties donc je crois que c’est un amalgame de tout ce qu’on vit/entend. Les fantasmes sont là, mais restent plus souvent dans ma tête. Ils se répercutent du côté visuel par des photos. J’ai souvent en tête ce que je qualifierais d’image-obsession, une pose ou un geste que je dois absolument photographier et qui ne me sort pas de l’esprit.
Marieve: Est-ce que vous vous imposez des limites sur le contenu de vos textes?
Olivia : J’aimerais pouvoir dire que nous écrivons/créons sans aucune censure, nous essayons de le faire le plus possible, mais nous sommes conscientes de la portée de nos mots et de leurs effets. On pense souvent à tort que tout ce qui est écrit sur le blogue provient directement de nos vies, les gens oublient la dimension fictionnelle de l’écriture.
Cette limite nous attire, celle entre notre intimité et nos vies fantasmées, car après tout nous sommes les seules à réellement savoir. Nous sommes aussi conscientes que nous n’écrivons pas des contes pour enfants. Nous ne sommes pas là pour endormir les gens, mais bien pour les faire réagir, les émoustiller, les provoquer, stimuler quelque chose dans leur bas-ventre.
Pour l'occasion, j'ai eu le privilège de m'entretenir avec une des co-fondatrices: Olivia. Fondé en 2012 par elle et ses partenaires, Olivia a partagé avec moi le but recherché par ce blog et ses inspirations.
Olivia: Je dirais pour s’exprimer, quoi que l’un n’empêche pas l’autre. Nous ne voulons vraiment pas être un blog qui donne des conseils sexuels, nous voulons en fait démontrer que chacun vit sa sexualité de manière différente. La beauté est dans la diversité et ce concept s’applique autant aux textes qu'aux modèles dans les photos. C’est en même temps un geste libérateur de pouvoir mettre des mots sur le désir, qui peut être ludique comme réprimé ou obsessionnel. Bref, un terrain de jeu vraiment inspirant.
[Pour ses inspirations] Je crois qu’on ne peut pas s’empêcher de s’inspirer de nos expériences et de nos relations, c’est plus fort que nous. D’un autre côté, comme nos ami(e)s connaissent l’existence du blog, ils ne se gênent pas pour nous raconter leurs propres péripéties donc je crois que c’est un amalgame de tout ce qu’on vit/entend. Les fantasmes sont là, mais restent plus souvent dans ma tête. Ils se répercutent du côté visuel par des photos. J’ai souvent en tête ce que je qualifierais d’image-obsession, une pose ou un geste que je dois absolument photographier et qui ne me sort pas de l’esprit.
Marieve: Est-ce que vous vous imposez des limites sur le contenu de vos textes?
Olivia : J’aimerais pouvoir dire que nous écrivons/créons sans aucune censure, nous essayons de le faire le plus possible, mais nous sommes conscientes de la portée de nos mots et de leurs effets. On pense souvent à tort que tout ce qui est écrit sur le blogue provient directement de nos vies, les gens oublient la dimension fictionnelle de l’écriture.
Cette limite nous attire, celle entre notre intimité et nos vies fantasmées, car après tout nous sommes les seules à réellement savoir. Nous sommes aussi conscientes que nous n’écrivons pas des contes pour enfants. Nous ne sommes pas là pour endormir les gens, mais bien pour les faire réagir, les émoustiller, les provoquer, stimuler quelque chose dans leur bas-ventre.
Pour
les contributions, cliquez ici.
Pour
les littéraires (et coquins), cliquez ici!
Encourageons
la sexualité artistique!
MarièveXO
Mariève, collaboratrice du dimanche après-midi
à propos de l'auteur :
à propos de l'auteur :
Mariève a le statut social « d’artiste ». Avec modestie, elle vous dira qu’elle a « une production matérielle accrochable ». Entre la France et le Canada, elle court les expo, est membre d’une société d’alchimistes photographes à Paris et joue de la musique avec des gens très sympathiques. Le dimanche, elle partagera ses voyages et tout ce qui est branché dans le milieu artistique. Vous pouvez la suivre sur son site ou sur twitter (@MarievePelle)
- septembre 07, 2014
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- août 23, 2014
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Le
snobisme, le jet set; avoir de l’attitude, à petite dose, ça peut être sympa…
Source: Vanity Fair |
Par
contre, depuis que j’ai commencé à travailler dans des galeries d’art, je dois
vous dire qu’il ne m'est pas rare de rencontrer des gens snobs dans le milieu.
Adopter cette attitude hostile, c’est rendre l’art inaccessible,
malheureusement.
Voici
plusieurs conseils pour défier cette population odieuse et pour que vos visites en
galerie soient des plus agréables!
La Good attitude:
- Entrer
en disant «Bonjour»
- Poser
des questions sur ce qui vous attire
- Complimenter
si vous aimez
- Demander
leur carte d'affaires pour clore votre visite
La Fresh attitude:
-
Jouer à «plus arrogant que le galeriste» (ils se sentiront petits derrière leur
grand bureau fashion)
-
Lancer une fresh-phrase du genre «Ouais, c'est pas mal, on pourrait penser à (citer
ici un artiste célèbre)» (vous aurez l'air tellement cultivé)
-Si
vous n'aimez pas ce qui est dans la galerie après 30 secondes: sortez votre
téléphone et faites semblant d'avoir un appel, vous pourrez alors sortir en
douce...
La Failed attitude:
-Rire
des œuvres (même si c'est de la merde)
-Sortir
sans dire merci (impoli!)
-Au
grand jamais: parlez de vous et dire que vous êtes aussi artiste (prenez rendez-vous si la
galerie vous intéresse, svp!)
Lucille
Peget, une bonne amie à moi, est aussi galeriste. Même si elle est Française,
même si elle est belle et représente des artistes in, elle a
choisi d'être une gentille. Cliquez ici pour la découvrir.
Chose certaine: n'ayez pas peur. Si vous aimez l'art, ne vous privez pas! La majeure partie des galeries sont gratuites, autant en
profiter!
Bonne
visite!
Mariève
XO
Mariève a le statut social « d’artiste ». Avec modestie, elle vous dira qu’elle a « une production matérielle accrochable ». Entre la France et le Canada, elle court les expo, est membre d’une société d’alchimistes photographes à Paris et joue de la musique avec des gens très sympathiques. Le dimanche, elle partagera ses voyages et tout ce qui est branché dans le milieu artistique. Vous pouvez la suivre sur son site ou sur twitter (@MarievePelle)
- août 17, 2014
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- août 16, 2014
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Dernièrement, j’ai découvert la marque de t-shirts Buy Me Brunch, basée à San Francisco, et
j’ai ADORÉ! Je pense que j’ai gardé un petit côté adolescente-provocatrice
parce que ce genre de t‑shirt m’excite encore beaucoup. Je sais, chers collègues
de travail, je suis plutôt conventionnelle dans mon choix de outfits au boulot mais sachez que le
weekend, je me laisse aller! ;)
Source |
En plus d’être drôles et
provocants, ils ne sont pas trop dispendieux: 28$ pour un t-shirt, c’est encore
raisonnable. J’affectionne particulièrement le style chic-insolent, par exemple: veston blanc/ pantalon propre/talons hauts/ Buy Me Brunch cami. À essayer!
Je ne sais pas pour vous, mais
moi, si je vois un gars avec ce t-shirt dans un bar (et que j’ai deux gin-tonic
minimum dans le nez), je risque fort d’aller lui dire avec le plus gros sourire
du monde: Muy bien, gracias. ¿Y tú cabrón? Bon, effectivement, ça
pourrait mal tourner. Ou non.
Source |
Source |
Source |
Pour ajouter à ton bonheur,
Buy Me Brunch offre aussi des affiches qui viendront franchement puncher la déco de ton chez-vous. Il y
en a une quinzaine sur leur site web.
Mes trois prefs:
Source |
*** Livraison
au Canada: frais de 15$ jusqu’à trois t-shirt.
Valérie-Eve Xo
Valérie-Eve, collaboratrice du mardi après-midi
à propos de l'auteur:
Valérie-Ève approche dangereusement la trentaine. Graduée de l’Université Concordia, elle pratique le métier d’ingénieure dans une firme de génie-conseil. En tant que vraie Montréalaise, elle ne possède pas de voiture et est abonnée à Bixi. Elle affectionne particulièrement les 5@7 qui s'éternisent, les spectacles intimes, les romans de M-O Moutier et de Jean-Paul Dubois, le cinéma Excentris, les voyages et surtout les discussions entre amis dans lesquelles on s’époumone sur de GRANDS sujets comme le pourcentage minuscule d’hommes célibataires sur l’île ou du pourquoi, sans le savoir, les hommes en général aiment bien quand les filles portent la couleur corail. Elle vous présentera chroniques-conseils et couvertures événements les mardis après-midi. Vous pouvez suivre Valérie-Ève sur Instagram (@valevecyr), Pinterest (valevecyr) ou Twitter (@val_sublime)!
- août 05, 2014
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The Double Bind est mon livre favori, je me dois de vous en parler. C'est un suspense psychologique extrêmement dur mais oh combien fascinant!
L'auteur a basé l'intrigue de son livre sur The Great Gatsby de F. Scott Fitzgerald. En fait, le drame de The Double Bind m'a fascinée au point de me pousser à lire l'énorme biographie de Zelda Fitzgerald.
J'ai lu TOUS les livres de Chris Bojhalian: Midwifes, Secret of Eden, Trans-sister Radio, pour ne nommer que ceux-là. Chacun de ses livres a la caractéristique d'être différent du précédent, à tel point qu'on a peine à croire qu'il a été écrit par le même auteur. Ses sujets aussi diversifiés sont traités avec soin et profondeur. Ouvrir un livre de Chris Bohjalian assure une surprise littéraire agréable. Je vous recommande fortement la lecture de ce livre, ne serait-ce que pour découvrir la plume de cet auteur marquant dans ma vie.
Lucie xx
- juillet 16, 2014
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“Are you on Tinder? Have you heard of
Tinder? Omg, you should definitely try Tinder! You’re single, can you explain
to me what Tinder is?” This is just a sample from the barrage of Tinder-related
questions and comments I’ve encountered over the past few months, with either
enthusiasm, repulsion or confusion. After much deliberation, resistance,
convincing and a tinge of curiosity (lot of emotions, I know), I decided to see
for myself what all the commotion was about, since the app seemed to have made
its way to my age group.
For those who live under a rock or who have
no single friends (adopt one, they’re good people too), Tinder is a mobile
application with a highly superficial twist on online dating. You log in using
your Facebook profile, select what pictures you want to show off, and decide on
the age and location range you’d like to target. Before you know it, profiles
of potential matches will be presented to you, at which point you have the
choice of swiping right to “like” or left to dismiss each person. If you’ve
both “liked” each other, you can then start messaging. Unlike online dating,
there is very little info about the person and you can only exchange messages
once you’ve been matched. There is an opportunity to add a short bio, you can
see your common Facebook interests and friends and that’s about it. Go ahead
and pass judgment on the few pictures posted.
Source |
Source |
Given the extremely superficial nature of
the app, it had become known as the “hookup app”, but I believe it’s taken a
different, more mainstream turn (or maybe I’m hoping it has). It’s
significantly simpler and faster than online dating sites and quite commonly
used. Tinder most definitely appeals to our growing obsession for instant
gratification and if you’re a remotely attractive woman, you’ll notice you’ll
be getting plenty of matches, i.e. people who “like” you (hello ego boost), but
in my experience a very small percentage of conversations will be started. Many
will start with a riveting “Hey!” so don’t expect your world to be rocked with
the opening line. You’ll be wishing Tinder could somehow be applied to your
5à7s or weekend nights because it’s just so easy to get noticed and there are
some pretty cute guys. Trust me, like online dating,
Tinder can be very scary at first as you stare back at the various men of all
shapes, sizes, backgrounds, hobbies, tattoos and selfies, but once you take the
plunge, it becomes like a game. I feel like the novelty of the app and the
“game” will wear off very quickly for me and I don’t think I’ll keep it around
for much longer. It’s difficult to make a connection online and with so little
information to go on, I personally find the constant messaging process to be
annoying. But hey, at the very least, I have an upcoming date with a seemingly
decent guy. Good luck, potential Tinderellas (ugh, even the term they’ve coined
is horrible).
Sally –xx-
Sally, collaboratrice du jeudi avant-midi
à propos de l'auteur :
à propos de l'auteur :
Passionnée de médias sociaux et du marketing, Sally reste à l’affut de tout ce qui se passe en ville. Elle partagera ses découvertes montréalaises ainsi que ses coups de cœur délicieux et incontournables. Tous les jeudis, suivez ses péripéties de jeune professionnelle qui se dérouleront au cours de 5à7s, de « dates » (hihi!), de fins de semaine partiellement endiablées, et d’événements spéciaux.
- juillet 10, 2014
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source |
New York, la Grande Pomme, la Ville aux milles dépenses, la Ville à la mode excentrique et aussi, depuis longtemps déjà... la Ville où les femmes sont en droit de se promener seins nus, au même titre que les hommes.
En effet, depuis 1992 déjà,
la Cour Suprême de la métropole a tranché : les femmes qui désirent se
promener en chest n’en seront guerre
punies. Pourquoi est-ce encore d’actualité deux décennies plus tard, me
direz-vous ? Parce que, cette année, deux jeunes femmes ont décidé de remettre
l’enjeu sur la table et l’une d’entre elle, Elizabeth Siematkowski, de
traverser le populaire Williamsburg bridge en patins à roues alignées topless. Tout ça, sous le couvert du
hashtag #toplessblading, AH!
source |
C’est après avoir lu l’article écrit par cette courageuse femme dans le webzine Refinery 29, que j’ai décidé d’y réfléchir plus sérieusement. « Sure, it’s been brutally hot all month long, and I knew I was within my rights to do it, but the question of whether going topless was empowering to or degrading of women still weighed heavily on my mind. » - E. Siematkowski
Au départ, je l’avoue, j’étais choquée. Je
suis pourtant une pro-militante et pratiquante du mouvement braless, (oh! la
révélation!). Donc, je comprends tout à fait le besoin de se défaire de la
prison du buste (héhé). Serait-ce d’ailleurs la continuité logique de ce début
d’émancipation ? Je pense, au contraire, qu’il s’agit d’un tout autre
débat.
source |
Malgré mes connaissances et mon amour des seins libres (lorsque le poids de l’attirail le permet, cela va de soi) à ma première lecture, j’ai tout de même éprouvé un malaise : une sorte d’inconfort. Comme si dans ma tête, le geste tendait (encore) vers société hyper-sexualisée. Ouf, lourd !
Après réflexion, je pense qu’il y a plus que
ça dans le mouvement, dans le geste. En Europe par exemple, les plages de
nudistes pullulent et les hommes s’en sortent (sauf pour quelques weirdos) pas traumatisés pour autant.
Peut-être que si notre société nous avait habitué à la nudité naturelle, je
n’aurais pas éprouvé ce sentiment de recul ? Peut-être que le vrai
problème est qu’en Amérique, les seules occasions où l’on voit et conçoit la
nudité sont dans des contextes hyper-sexualisés ? (Hahum, comme
l’horrible vidéo de Blurred Lines ou encore
celui de Justin Timberlake,
supposément artsy (?), par exemple !)
Attention! Il est important de ne pas confondre le mouvement FEMEN au mouvement topless. FEMEN, c'est une utilisation du sexe dans le but de faire parler d'un mouvement, un mouvement qui a par ailleurs assez déraillé merci. Au départ, utiliser la nudité pour choquer et pour faire régir les "machos de ce monde", ça peut passer. Sauf que, quand on utilise le sexe, ou encore le corps de la femme dans un but marketing: ça ressemble étrangement à de la publicité des années 1960, rétrograde et misogyne. Le but des adeptes du mouvement topless en cours, c'est justement de ne pas faire parler d'elles, du moins, pas pour leurs corps. Elles souhaitent plutôt passer inaperçue, tel un homme se promenant les seins à l'air.
Attention! Il est important de ne pas confondre le mouvement FEMEN au mouvement topless. FEMEN, c'est une utilisation du sexe dans le but de faire parler d'un mouvement, un mouvement qui a par ailleurs assez déraillé merci. Au départ, utiliser la nudité pour choquer et pour faire régir les "machos de ce monde", ça peut passer. Sauf que, quand on utilise le sexe, ou encore le corps de la femme dans un but marketing: ça ressemble étrangement à de la publicité des années 1960, rétrograde et misogyne. Le but des adeptes du mouvement topless en cours, c'est justement de ne pas faire parler d'elles, du moins, pas pour leurs corps. Elles souhaitent plutôt passer inaperçue, tel un homme se promenant les seins à l'air.
Au final, la traversée du pont s’est faite
tout naturellement, sans commentaires des passants, sans faire dérailler d’hommes
de la piste cyclable (lol). Mais bon, c’est New York quand même et plus rien
n’est à l’épreuve des New-Yorkais pas vrai?
Et vous, vous en pensez quoi ?
Gabrielle Xx
Gabrielle est étudiante en communication, mais ne s’y limite pas. Wannabe végétalienne, elle adore le yoga chaud, son petit chum et les lattes au lait de soya. Originaire des Cantons de l’Est, la grande ville est toutefois sa muse et s’en séparer serait sans contredit sa plus grande peine d’amour. Pour apprendre à la connaître, suivez-la sur Instagram(@gabriellelh), Twitter(@g_lauzier) ou Pinterest (Gabrielle Lauzier-Hudon).
- août 31, 2013
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