NaNa Toulouse: Isabelle

Un jour je saurai coudre, en attendant il y a Les Triplettes! #DIY

Vous savez maintenant combien j’affectionne les artisans d’ici! Cette semaine, je vous présente donc la marque Les Triplettes, qui a été créée il y a un peu plus de deux ans par Marion Van der Voort. Française d’origine et couturière de métier, Marion s’est installée à Montréal il y a 8 ans, et c’est ici-même qu’elle vend ses produits.

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Parmi ces derniers, vous trouverez des coussins, de la literie et quelques autres accessoires, comme des kits de couture afin que vous puissiez faire vos propres projets. Ces kits sont complets, il ne manque que la machine à coudre!

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Vous remarquerez sans doute en visitant le site web que le tissu utilisé est généralement de la marque Liberty. Il s’agit d’un tissu londonien, très répandu en Europe mais peu au Québec, qui est reconnu pour sa finesse et sa qualité. Pour les couturières plus aventurières, il est possible de s’en procurer sur le site au mètre et dans une variété de motifs.

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Pour ceux et celles qui désirent devenir des pros de la machine à coudre, Marion offre pendant trois jours, à chaque mois, des ateliers qui ont lieu à l’Espace Pop (5585, avenue du Parc). Les débutants sont les bienvenus et les machines sont disponibles sur place. Rien ne vous empêche par contre d’apporter la vôtre!

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Pour en savoir plus sur cette marque québécoise, les dates des ateliers, connaître les points de vente physiques ou pour acheter des produits, visitez la page Facebook, la boutique Etsy ou le site web.

Bonne couture!

Isabelle xx

Isabelle, collaboratrice du mercredi avant-midi

à propos de l'auteur:

Jeune trentenaire, Isabelle travaille en Communications et rêve d’un jour réussir ses recettes du premier coup. En attendant, elle cultive aussi d’autres nobles ambitions, notamment de devenir une meilleure personne en arrêtant de chialer après le monde qui marche trop lentement devant elle sur le trottoir. Chaque mercredi, elle partagera avec vous dans la bonne humeur, ses découvertes sur son quartier, le Mile-End, ses livres, ses recettes et ses sites web préférés, ou encore ses réflexions sur tout autre sujet attirant son attention cette semaine-là! Vous pouvez suivre Isabelle sur Instagram (@isahudon)

avril 02, 2014
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Il est (re)venu le temps du #normcore !

Isabelle

Alors, ça veut dire quoi, ce terme qu’on entend partout depuis quelques temps? Inventé par l’agence new-yorkaise de tendances K-Hole, il s’agit d’une contraction de « normal » et de « hardcore ». Plus qu’un simple style vestimentaire, il s’agit d’un mode de vie.

Alors que les hipsters cherchent à afficher leur individualité, les adeptes du normcore choisissent volontairement de se fondre dans la masse. Pour eux, la définition de leur identité ne passe pas par leur apparence.

Cols roulés, t-shirts de coton, jeans délavés et espadrilles sont autant de pièces incontournables du normcore. Le normcore, c’est porter des bas blancs, c’est magasiner dans les magasins à rayons, c’est mettre un polar pour aller à un blind date.

Source : La chemise qu'on ne pensait plus voir!

« Générique » est le terme décrivant probablement le mieux cette nouvelle tendance, ou plutôt cette absence de style qui, en fait, a toujours été présente dans le mainstream. Pensons à Steve Jobs, égérie du normcore avant la lettre! Oui, mes amis, les bas blancs et les polars n’ont jamais vraiment disparu. La différence, c’est que, maintenant, ils sont « hype ». Comptons jusqu’à trois et voyons comment les grandes marques de vêtements récupéreront la tendance pour nous la vendre à plein prix… GAP a déjà pris les devants!

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Je vous laisse sur cette image illustrant le normcore… Notez la ressemblance frappante avec vos albums du secondaire!

Source : La fille de Steve Jobs?

Pour en apprendre un peu plus sur le sujet, je vous suggère cet article de Fiona Duncan dans le New York Times ou encore le rapport de l’agence K-Hole.

Et vous, qu'en pensez-vous?

Isabelle

Isabelle, collaboratrice du mercredi

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mars 26, 2014
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L’Art, c’est colossal!

Coup de coeur

Parce que je suis entre deux jobs et parce que je suis tannée de regarder la neige tomber par la fenêtre, je passe pas mal de temps devant mon ordinateur, ces temps-ci. Oui, je sais que c’est mauvais pour ma posture, mais l’avantage, c’est que j’ai fait plein de découvertes intéressantes, dont un site que j’aimerais vous présenter aujourd’hui.

This Is Colossal est un site qui explore les arts visuels, le design et la photographie en présentant chaque semaine le travail d’artistes venant de partout dans le monde. Allez vous y perdre pendant quelques minutes; je vous garantis que vous y ferez des trouvailles surprenantes!

En attendant, voici quelques-uns de mes coups de cœur!

Une photographie tirée du projet Façades, par ZacharieGaudrillot-Roy. Montréalais, vous reconnaissez l’endroit?

Le photographe amateur Mark Hersch a pris cette photo avec son iPhone avant d’atterrir à Chicago, Je pense qu’il a eu beaucoup de « j’aime » sur son billet Facebook…

Cette photographie animée est tirée de l’exposition Time in Motion de Qi Wei Fong.

Pour mes amis cyclistes… les gens de 100 copies ont créé 100 exemplaires de ce poster uniquement avec des traces de vélos!

Le site comprend aussi une boutique en ligne où vous pourrez trouver des objets pour la maison ou encore ces curieux suçons cosmiques…je me demande ce que ça goûte, Saturne!

Bon fouinage!

Isabelle xxx

Isabelle, collaboratrice du mercredi

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mars 19, 2014
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Totalement ma tasse de thé!

Bouffe

J’ai découvert récemment le Salon de thé Cardinal, qui a ouvert ses portes en décembre dernier sur le boulevard St-Laurent, juste au-dessus du Sparrow. Les deux établissements appartiennent d’ailleurs au même propriétaire, qui m’a expliqué que son superbe salon de thé à deux étages devait à l’origine être un bar. Même sans présence d’alcool, on y retrouve l’atmosphère chaleureuse des pubs anglais (high-end, comme le spécifie le proprio), où les gens se mélangent de table en table.

Dès mon arrivée, j’ai été charmée par le décor composé de boiseries, de papier peint et même d’un grand lustre. Quelques bibliothèques bien fournies sont réparties dans la pièce, de même qu’un piano à queue. Le charme du Cardinal se retrouve aussi dans les détails : les tasses en porcelaine fine, la vieille caisse enregistreuse, les objets d’influence art déco ou encore les malles en guise de table.

Côté menu, vous trouverez bien sûr tout un assortiment de thés noirs, blancs et verts, ainsi que des bouchées sucrées et salées faites maison. Je me suis pour ma part laissée tenter par le London Fog (Earl Grey, lait et sucre), et je crois que les lattes d’Olimpico ont maintenant un sérieux rival dans mon cœur. Les feuilletés aux saucisses étaient également juste à point.

L’endroit jouit présentement de l’attrait de la nouveauté mais possède selon moi tous les ingrédients pour un succès à long terme. Il se peut que vous ayez à attendre un peu à la porte avant de pouvoir entrer, mais je vous promets que ça en vaut la peine!

Cardinal
5322 rue Saint-Laurent (entre Fairmount et St-Viateur)
2e étage du Sparrow
Heures d’ouverture : vendredi de 11 h à 18 h / samedi et dimanche de 10 h à 17 h

Bon thé!

Isabelle

Isabelle, collaboratrice du mercredi

à propos de l’auteur : Jeune trentenaire, Isabelle travaille en Communications et rêve d'un jour réussir ses recettes du premier coup. En attendant, elle cultive aussi d'autres nobles ambitions, notamment de devenir une meilleure personne en arrêtant de chialer après le monde qui marche trop lentement devant elle sur le trottoir. Chaque mercredi, elle partagera avec vous dans la bonne humeur, ses découvertes sur son quartier, le Mile-End, ses livres, ses recettes et ses sites web préférés, ou encore ses réflexions sur tout autre sujet attirant son attention cette semaine-là! Vous pouvez suivre Isabelle sur Instagram (@isahudon)

mars 12, 2014
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Faire le ménage de son corps, ça passe par la tête!

Isabelle

Pour ceux et celles d’entre vous qui ne la connaissent pas, laissez-moi vous présenter Valérie Fraser. Valérie, c’est une fille dans la mi- vingtaine qui s’est levée un beau matin et qui a décidé qu’elle en avait assez d’être grosse. Et quand je dis grosse, je pèse mes mots. À 345 livres, il est difficile de se mentir sur son état. C’est pourtant un peu ce que Valérie faisait jusqu’à ce fameux jour où elle a décidé de mettre ses tripes sur la table (dans une vidéo disponible ici) et du même coup de vider son garde-manger de sa malbouffe.

C’était le 26 avril 2012. Presque deux ans plus tard, malgré les hauts et les bas, Valérie vient de tomber sous la barre des 200 livres, et c’est plus de 20 000 personnes qui suivent son parcours sur sa page Facebook.

J’ai eu la chance de discuter avec elle au sujet de son tout nouveau livre, ainsi qu’avec la co-auteure et journaliste Marianne Prairie, lors d’une entrevue et au lancement qui avait lieu hier soir au pub l’Île noire. Extraits d’une rencontre avec une Valérie authentique et déterminée!

Livre

Nana Toulouse : Vous avez été approchées pour ce livre ou c’était votre idée?

Marianne : La maison d’édition Parfum d’encre nous a approché toutes les deux. Ils cherchaient une co-auteure pour appuyer Valérie dans le processus. Nous nous sommes rencontrées à la maison d’édition dans un blind date professionnel et ça a cliqué tout de suite. On a construit le livre ensemble, le fil conducteur étant bien sûr la vie de Valérie, mais aussi ma découverte de la réalité des personnes obèses et du changement de mes perceptions par rapport à celles-ci.

NT : Pourquoi avoir décidé d’écrire ce livre en plus de ta page Facebook? Qu’est-ce que tu avais envie de partager que tu n’avais pas déjà dit?

Valérie : Sur ma page, je n’ai jamais parlé de mon passé, mais plutôt de mon cheminement dans ma nouvelle vie. Ce projet de livre qu’on m’a présenté a été l’opportunité pour moi de me libérer de mes secrets et de faire un deuil de l’ancienne moi. Je tiens à préciser que mon livre ne contient pas de recette miracle pour perdre du poids!

Marianne Prairie et Valérie Frazer (Photo Marion Ecolivet)

NT : Tu as décidé de partager avec les lecteurs plusieurs moments de faiblesse ou humiliants de ton passé, par exemple la fois où tu t’es réveillée submergée par des restes de McDo. Pourquoi?

C’est très thérapeutique. J’ai pleuré de A à Z en écrivant ce livre. Je veux juste repartir ma vie à zéro et ça me libère, de parler de mon parcours.

NT : Et toi, Marianne, qu’est-ce que tu as appris de cette expérience avec Valérie?

M : J’ai réalisé que j’avais des patterns de pensée sur les obèses que je considérais comme « normaux » avant de la rencontrer. Je me croyais pas mal ouverte mais je me suis rendue compte que j’étais un produit de ma société, de fille privilégiée. Je faisais de la discrimination et pas juste pour les personnes obèses. Ça m’a aussi sensibilisée à l’histoire d’une personne qui a une réalité complètement différente de la tienne. Ça m’a permis d’ouvrir une porte et d’explorer un sujet sur lequel j’aurais passé tout droit.

NT : Est-ce que pour toi, Valérie, l’obésité est une sorte de dépendance?

V : La bouffe a longtemps été une béquille contre ma solitude. Je suis dépendante de la bouffe et je le serai toujours mais je n’ai jamais accepté d’être seulement ça. Mes parents m’ont fait un cadeau en m’encourageant à développer ma personnalité et mon humour plutôt que de m’obliger à perdre du poids. J’aimais mieux être grosse et avoir une personnalité que d’être mince mais vide en dedans. Cette personnalité m’a sauvée quand ça a été le temps de maigrir.

NT : Dans ton dernier chapitre, tu dis adieu à l’ancienne Valérie. Tu sens donc que tu es une nouvelle personne?

V : Je n’ai jamais réécouté ma vidéo sur Youtube. Pour moi, cette fille est morte. Ça a été un deuil de deux ans pendant lequel cette fille me challengeait à revenir à mes anciennes habitudes. En bouclant la boucle avec ce livre, j’ai voulu me libérer de ces derniers souvenirs. J’ai fini de faire mon deuil. Au début, il y avait elle, puis on a été deux. Maintenant, c’est le temps qu’elle parte.

Au Lancement du livre

NT: Qu’est-ce que vous aimeriez que les gens retirent de votre livre?

M : Qu’on a souvent bien des idées reçues sur une foule de sujets, comme sur l’obésité, par exemple. Ça vaut la peine de s’arrêter, d’analyser nos pensées et nos préjugés sur ces personnes.

V : On m’a dit un an avant le début de mon processus que je ne passerais pas le cap des trente ans et je m’en suis foutue royalement. Je me croyais invincible. Puis, je me suis levée un matin et je ne me suis pas reconnue dans le miroir. Les jokes de grosses, je ne les trouvais plus drôles. J’ai aussi rencontré des gens, comme mes colocs, qui m’ont fait réaliser que je pouvais changer au lieu de me laisser crever.

La vie est sans limite. Les limites, c’est toi qui te les impose. Les gens me demandent si c’est difficile d’aller au gym sans arrêt, mais l’effort physique, c’est 10% de la job. Le reste, c’est du gros décrassage de cerveau à l’eau de javel. C’est de réussir à se débarrasser de tes excuses. Quand tu veux vraiment faire quelque chose, tu le fais et c’est tout. Il faut puiser la détermination au fond de toi.

Le jour où j’ai arrêté d’être grosse est maintenant en vente partout.

Bonne lecture!

(*les réponses citées sont des extraits d'une conversation)

Isabelle

Isabelle, collaboratrice du mercredi
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Jeune trentenaire, Isabelle travaille en Communications et rêve d'un jour réussir ses recettes du premier coup. En attendant, elle cultive aussi d'autres nobles ambitions, notamment de devenir une meilleure personne en arrêtant de chialer après le monde qui marche trop lentement devant elle sur le trottoir. Chaque mercredi, elle partagera avec vous dans la bonne humeur, ses découvertes sur son quartier, le Mile-End, ses livres, ses recettes et ses sites web préférés, ou encore ses réflexions sur tout autre sujet attirant son attention cette semaine-là! Vous pouvez suivre Isabelle sur Instagram (@isahudon)

février 19, 2014
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Dot & Lil nous apporte le printemps!

événement

C’est par un froid de canard que je me suis rendue mercredi dernier, avec ma courageuse amie Alexia, à l’atelier Dot & Lil pour le lancement de leur collection printemps et été. Le temps de décongeler devant le buffet et de faire connaissance avec le mousseux, nous étions prêtes à partir à la découverte. Et ça a valu la peine!

Ils sont beaux, ils sentent bon, ils ont le look vintage!

Dot & Lil, c’est une ligne de produits pour le bain, le corps et la maison faits à la main dans un atelier au cœur du Mile-End. La créatrice, Anne Dardick, a baptisé sa petite entreprise d’après les sœurs et actrices du cinéma muet Dorothy et Lilian Gish. Pourquoi? Parce qu’avec le savon, le vintage est aussi une des passions d’Anne, qui mélange ici les deux pour créer des produits aussi efficaces que coquets.

La ligne compte tant des savons parfumés que du sérum, des barres nettoyantes et des exfoliants pour le visage, en passant par des bougies, du beurre corporel et des sels de bain. La liste est longue! Pour ce qui est des ingrédients et des parfums, on retrouve notamment des graines d’abricot, le lilas, le sel rouge de la Saskatchewan, la fleur de pêcher, du beurre de karité, de l’avoine, de l’argile multani mitti et des pois de senteur. TOUS les produits sentent bon. J’ai tellement senti mon bras après y avoir mis du beurre corporel au lilas que je pense que j’ai temporairement détraqué mon odorat.

Le nouvel exfoliant Dot & Lil

Mon coup de cœur reste sans contredit les bougies parfumées dans des tasses de porcelaine fine. Un jour, mes amies vont en acheter aussi et on va prendre le thé ensemble quand nos chandelles seront consumées. Voilà, c’est dit.

Les bougies: un mode de vie

Presque tous les produits sont végétaliens, non testés sur les animaux et surtout sans eau, ce qui permet à Dot & Lil de ne pas utiliser d’agents de conservation dans leurs produits. Ils sont maintenant disponibles chez plus de 50 détaillants au Canada et aux États-Unis.

Crédit photo

Pour en savoir plus, visitez le site et le blogue.

Bon magasinage!

Isabelle xxx

Isabelle, collaboratrice du mercredi
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février 12, 2014
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Un spa dans mon garde-manger!

Astuces

Je pense que j’ai déjà établi assez clairement dans mes articles précédents que l’hiver, ce n’est pas ma saison préférée. Je dirais même qu’elle est en quatrième position. Malgré tout, je travaille vraiment fort pour en apprécier les bons côtés. Je profite des feux de foyer, de la grosse bouffe réconfortante et des randonnées en raquette. Non, je blague, je ne ferai jamais de raquette, c’est au-delà de mes capacités de motivation.

source

Une des choses que j’ai le goût de faire pour vrai, par contre, c’est de tester des recettes de produits de beauté naturels! Pendant la saison froide, notre peau devient souvent sèche et terne et c’est donc le meilleur moment pour se dorloter avec un petit spa maison! Voici donc quelques recettes où la simplicité est à l’honneur.

Le masque à l’avoine et au miel

Tasse-toi, Aveeno! Pour concocter ce masque, il suffit de combiner ½ tasse d’eau chaude à 1/3 de tasse de flocons d’avoine. Après quelques minutes, ajoutez deux cuillerées à table de yogourt nature, deux cuillerées à table de miel et un blanc d’œuf. Mélangez et appliquez en fine couche sur le visage pendant 15 minutes avant de rincer à l’eau tiède.

Est-ce que ça marche vraiment? J’ai testé celui-ci avant-hier et ça m’a donné un peu de couleurs aux joues. Entre ça et me sentir comme une tranche de pain dans un toaster au salon de bronzage, je préfère le masque.

Ça donne aussi le goût de manger des céréales, non?

Le masque au yogourt et à l'aloès

Pour se donner un petit coup d’éclat, Internet nous propose ce masque qui combine une cuillerée à thé de yogourt nature, le jus d’un quart d’une orange et une cuillerée à thé d’aloès. On le laisse vingt minutes et le tour est joué, on ressemble maintenant à Natalie Portman! Ça marche surtout si on est Natalie Portman au départ… mais bon.

Le gel d'aloès, c'est super-puissant!

Le masque au concombre

Ce masque est réputé pour ses qualités astringentes et donc recommandé pour les personnes ayant de l’acné ou la peau grasse (i.e. la moitié de la planète). Dans un mélangeur, combinez la moitié d’un concombre, deux cuillerées à table d’avoine, le jus de la moitié d’un citron et une cuillerée à table de miel. Appliquez entre 15 et 20 minutes avant de rincer à l’eau froide. Il est préférable d’éviter le soleil immédiatement après avoir utilisé ce masque à cause du citron. On conseille donc le faire avant le coucher.

Bon tant dans une salade que sur ton visage!

Alors voilà! J’attends les commentaires de ceux et celles d’entre vous qui utiliseront ces recettes maison, naturelles et non testées sur les animaux! Pour les autres, le printemps s’en vient bientôt!

Isabelle xxx

Isabelle, collaboratrice du mercredi
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février 05, 2014
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Des vêtements made in Québec, ça vous dit?

découverte

Il devait faire plus de trente degrés sous zéro lorsque j’ai rencontré la sympathique designer de vêtements Isabelle Deslauriers. Autour d’un café bien fumant, elle m’a parlé de sa ligne de vêtements pour enfants, de sa solide aversion pour le cheap labor et de son nouveau projet de manteaux d’hiver pour adultes. Entrevue avec une entrepreneure passionnée par son produit!

La designer en question!

Alice et Simone

Isabelle a toujours eu l’intention de créer sa propre ligne de vêtements, mais cela lui aura pris près de quinze ans après sa sortie de l’école pour concrétiser son projet. Pendant ce temps, elle a appris toutes les ficelles du métier en travaillant pour le compte de grandes entreprises. Elle a aussi réalisé que certaines facettes étaient moins roses que d’autres dans le merveilleux monde de l’industrie textile.

La plupart des vêtements fabriqués en Asie sont produits par des employés sous-payés qui travaillent dans des conditions lamentables. Et si le prix est bas, la qualité, elle, n’est souvent pas au rendez-vous. «D’être en contact avec cette réalité a vraiment créé un malaise chez moi, au point où je ne pouvais plus continuer. Je pense aussi que plusieurs personnes sont «tannées» de ces vêtements qui brisent après trois ou quatre lavages.»

Des vêtements qui ne vont pas «scrapper» après deux lavages

C’est donc lors d’un de ses congés de maternité qu’Isabelle a décidé de rendre son tablier et de se lancer en affaires. Son premier projet, baptisé Alice et Simone en l’honneur de ses deux aînées, a démarré après qu’elle ait offert des jupes réversibles en cadeau aux filles de ses amies. Maintenant disponibles dans 12 boutiques au Canada et sur une boutique en ligne, ces jupes «pile ou face» restent encore un de ses produits-phare. Vous y trouverez aussi des chandails, tuniques et bavettes qui sont tous produits localement, à l’aide d’une couturière et d’un atelier de production du Mile-End. Et Isabelle nous assure que tout le monde est bien traité et bien payé!

Rachel, la petite fille d'Alexïs, avec son tout premier colis: une jupe chevron réversible signée Alice et Simone!

Desloups

La vraie passion d’Isabelle, c’est la confection de manteaux d’hiver. Maintenant qu’elle connait bien toutes les étapes de la production et de la mise en marché des vêtements, elle est prête à démarrer sa propre ligne de manteaux de laine. Pas de compétition à Canada Goose! Les manteaux Desloups seront chauds mais plus urbains que de style sportif. Si tout se passe bien, ceux-ci devraient faire leur apparition dans les boutiques àl’automne prochain.

De quoi vous tenir au chaud l'hiver prochain! Logo par Carolyne Cloutier.

Pour en savoir plus sur Alice et Simone, visitez la boutique : www.aliceetsimone.com

Et pour Desloups, c’est ici : www.desloups.ca

À bientôt!

Isabelle xxx

Isabelle, collaboratrice du mercredi

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janvier 30, 2014
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Un jour je saurai coudre, en attendant il y a Les Triplettes! #DIY

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L’Art, c’est colossal!

Totalement ma tasse de thé!

Faire le ménage de son corps, ça passe par la tête!

Dot & Lil nous apporte le printemps!

Un spa dans mon garde-manger!

Le masque à l’avoine et au miel

Le masque au yogourt et à l'aloès

Le masque au concombre

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