Maintenant que l’été s’installe tranquillement, je tenais
tout de même à faire un bref retour sur mon mois de mai, mois de la
sensibilisation à la maladie cœliaque. Au cours des dernières semaines, j’en ai
profité pour faire le point sur
les réalités concernant les affections gastro-intestinales. Je faisais mon coming out un peu plus tôt en avril quant à la colopathie fonctionnelle qui affecte mon organisme depuis l'âge de 4 ans environs. Si cette affection du côlon irritable me suit depuis que je suis toute petite, c'est à l'âge de 28 ans que j'ai connu les pires tourments de ma vie. Ma collaboratrice Marieve, qui partage la même affection partage son histoire avec vous.
« Cela fait maintenant sept ans que j’ai le syndrome du côlon
irritable. Cette maladie se gère principalement par ce que l’on ingère et selon
notre état d’esprit. Ce n’est pas une
maladie « grave » mais je peux vous assurer que ça peut vous
handicaper votre quotidien très rapidement. Disons que pour l’instant mes pires ennemis sont : le stress, la
fatigue et la mauvaise alimentation. Le plus difficile pour moi c’est
définitivement de gérer mon alimentation et le stress. Je suis en dernière
année au Master (la maîtrise en France) et c’est plutôt (méga) stressant. Juste pour vous dire, parfois
j’ai si mal au ventre que j’ai des chocs vagaux (chute de pression).
De plus, je suis végétarienne (on aime les défis!) et je vis en France, vous savez ce pays du lactose, du gluten, du sucre et du vin et surtout pas des végétariens, disons que c’est parfois une catastrophe. J’ai, depuis 7 ans, mal au ventre à chaque jour de ma vie. J’appréhende souvent les voyages et les moments à l’extérieur de la maison. Y aura-t-il des toilettes si je suis mal? Vais-je être bien ? En forme? C’est sûrement les questions qui tournent le plus souvent dans ma tête! Mes journées commencent toujours en ne sachant pas si j’aurai une crise ou non dans la journée.
Franchement, j’ai commencé à aller mieux il y a environ un an. J’ai trouvé le livre de Susan Sheperd sur la diète FODMAP, spécialement conçue pour les gens atteints de cette maladie. J’ai été tellement surprise de voir qu’il y avait beaucoup d’aliments que je mangeais qui étaient dans la catégorie « les interdits » même si je mangeais sainement. Par exemple, je mangeais beaucoup de pommes, poires, oignons, poireaux, ail, lentilles et pois chiches. En éliminant ces aliments et en me creusant un peu plus la tête pour mes plans végétariens, j’ai vu de grands changements surtout au niveau de la douleur. Par exemple, au lieu d’assaisonner avec de l’ail et des oignons, je mets d’avantages des fines herbes et des sels aromatisés. Les « crises » surviennent toujours pour l’instant mais moins souvent qu’il y a un an. C’est vraiment un exercice quotidien, il faut toujours faire attention à son alimentation, mais si c’est le prix à payer pour être bien et en santé, ça en vaut le coup ! Bon, je dois avouer qu’il y a un élément de mon alimentation qui n’aide pas du tout, mais je ne peux m’en empêcher…le vin ! Vivant en France, vous pouvez comprendre hein ?»
De plus, je suis végétarienne (on aime les défis!) et je vis en France, vous savez ce pays du lactose, du gluten, du sucre et du vin et surtout pas des végétariens, disons que c’est parfois une catastrophe. J’ai, depuis 7 ans, mal au ventre à chaque jour de ma vie. J’appréhende souvent les voyages et les moments à l’extérieur de la maison. Y aura-t-il des toilettes si je suis mal? Vais-je être bien ? En forme? C’est sûrement les questions qui tournent le plus souvent dans ma tête! Mes journées commencent toujours en ne sachant pas si j’aurai une crise ou non dans la journée.
Franchement, j’ai commencé à aller mieux il y a environ un an. J’ai trouvé le livre de Susan Sheperd sur la diète FODMAP, spécialement conçue pour les gens atteints de cette maladie. J’ai été tellement surprise de voir qu’il y avait beaucoup d’aliments que je mangeais qui étaient dans la catégorie « les interdits » même si je mangeais sainement. Par exemple, je mangeais beaucoup de pommes, poires, oignons, poireaux, ail, lentilles et pois chiches. En éliminant ces aliments et en me creusant un peu plus la tête pour mes plans végétariens, j’ai vu de grands changements surtout au niveau de la douleur. Par exemple, au lieu d’assaisonner avec de l’ail et des oignons, je mets d’avantages des fines herbes et des sels aromatisés. Les « crises » surviennent toujours pour l’instant mais moins souvent qu’il y a un an. C’est vraiment un exercice quotidien, il faut toujours faire attention à son alimentation, mais si c’est le prix à payer pour être bien et en santé, ça en vaut le coup ! Bon, je dois avouer qu’il y a un élément de mon alimentation qui n’aide pas du tout, mais je ne peux m’en empêcher…le vin ! Vivant en France, vous pouvez comprendre hein ?»
- Marieve
Mon histoire ressemble à s'y méprendre à celle de Marieve, à la différence où mes crises elles, ont pratiquement cessées, voir disparues. J'ai éliminé moi aussi, par essais et erreurs, divers aliments (même certains "santé" ) et je me suis tournée vers les probiotiques. Je prends sur une
base régulière le probiotique le plus recommandé par les gastroentérologues*, Align®. Dans cet article je vous ai défini comment ceux-ci fonctionnent, mais le plus important est de les essayer et de constater par vous-mêmes les bienfaits sur votre système. Comme toute bonne habitude prend du temps à s'installer (21 jours on dit!), donnez-vous 3 semaines avant de prononcer un verdict et notez les améliorations dans un journal alimentaire pour suivre l'évolution de votre état. Il n'y a pas de petite victoire lorsqu'il est question de votre santé gastro-intestinale, Marieve et moi en savons quelque chose!
Alexïs xo
Rédactrice en chef
NaNa Toulouse
Cet article est présenté en collaboration avec le supplément probiotique Align®. Les opinions et commentaires vous sont toujours présentés de façon honnête.
*Parmi les gastro-entérologues et les médecins qui ont
recommandé une marque de probiotique dans un sondage AlphaImpactRx 2016.
- juin 21, 2017
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